Tian Ma Wudang Tai Chi Chuan Feu (taijiquan)
Nous enseignons les styles Eau et Feu du Tai Chi de Wudang via une forme courte et dynamique Tian Ma Wudang Tai Chi, de la Montagne du Cheval Blanc, composée des postures essentielles du Tai Chi Chuan, qui combine la puissance circulaire de Wudang, les positions profondes et les fa jin de la famille Chen.
Yin Yang – Ouvrir Fermer
Inspirer Expirer – Stocker Libérer
Eau Feu – Après l’Achèvement
Vacuité Divinité – Profond Mystérieux
Le Tai Ji Eau s’adapte à la forme pour générer le mouvement, il change d’une centaine de façon s’enroulant autour des objets. Ses caractéristiques sont comme l’eau: vide, agile, doux et transformateur. Le Tai Ji Feu signifie être enraciné comme un rocher, être fort comme le fer et l’acier, rapide comme un lapin en fuite, puissant comme des flammes qui brûlent. Il est appliqué pour protéger la vie et défendre le corps, pour générer de la force afin de soutenir le faible. Si sa force est émise pendant un combat, il brise ce qui se trouve sur son chemin, car l’intention, le qi, la force et un haut niveau de méthode de combat sont unifiés. En pratiquant le Tai Ji Gong, on ne doit pas insister sur la dureté au dépend de la douceur et vice-versa.
« Utiliser la quiétude pour créer le mouvement;
Utiliser la faiblesse pour vaincre la force;
Utiliser la douceur pour surmonter la dureté. »
Si l’on réagit en second, mais qu’on frappe la cible en premier, on est capable de soumettre l’ennemi efficacement avec une technique unique. Il est nécessaire d’avoir l’appui de la force, de techniques spécifiques ou uniques, de la méditation debout et de la méditation assise. De nos jours, la plupart des formes de Tai Ji transmises dans la société placent leur importance sur la longévité, cela est dû aux progrès de la société et parce que le Kung-Fu dans sa forme brutale enfreint la loi. L’ancienne génération de maîtres a quitté ce monde, et avec eux la connaissance véritable s’éteint petit à petit. Cependant, il y a de nombreux enseignants hautement compétents qui, en saisissant et en comprenant les principes du Yin-Yang, cultivent le Tao. Beaucoup d’entre eux se sont déjà éloignés du bruit et de l’excitation, ont abandonné leurs arts martiaux pour la cultivation profonde et n’écoutent plus les affaires mondaines. Seul un très petit nombre de personnes est capable de comprendre la longévité et simultanément les applications de combat. Pour les application de combat, on doit entraîner les mains, les yeux, le corps, les méthodes et les jeux de jambe pendant longtemps. On doit aussi maîtriser les huit méthodes de force: expansion, coups, compression, pression, pincement, chute, coups de coudes, approche etc…
La forme et la structure sont les objectifs principaux de la pratique, assistés des techniques des doigts, paumes, coudes, épaules, hanches, genoux et pieds, ainsi que de techniques uniques qui sont perfectionnées en secret. Dans les temps passés, l’ancienne génération des maîtres de Tai Ji disait:
« Dix ans de Tai Ji Gong ne suffisaient pas pour oser sortir de chez soi ».
La raison en est que le Tai Ji est différent des autres formes de Kung-Fu. Etablir votre Gong n’est pas facile, les exigences pour le corps, le qi, l’intention et l’esprit sont relativement stricts. Il serait impossible d’écrire tous les principes et les règles du Tai Ji Juan dans un livre épais.
CONTENU:
Forme de 33 mouvements
3 niveaux de posture, 8 types de méthodes de pratique de la forme
• Song Ti (technique de relaxation des muscles et tendons)
• Chan Si (filage de la soie)
• Fa Li stationnaires avancés- entraînement d’émission de puissance (poing, paume, coude, épaule, fist, palm, hanche, jambe) de 26 sortes
• combinaisons de Fa Li
• Entraînement avancé pluie, boue, glace, eau, pour renforcer l’équilibre
• Technique du pilier Taiji : 2 types de pilier en mouvement et 4 types de pilier debout
• Technique unique : paume qui pousse la montagne, coude qui déplace la montagne, taille qui arrache la montagne, bras qui broit la montagne (7 types de pratique)
POUSSER LES MAINS (TUI SHOU)
L’exercice apprend à l’étudiant à se soumettre et représente une forme passive de combat, enseignant les aspects les plus subtils et sensibles des arts martiaux. Comme le dit Li Su Fo, l’entraînement du pousser des mains est une forme de cultivation de la joie entre deux êtres humains mais peut aussi être un outil mortel dans un combat rapproché.
CONTENU:
Kou Tui (crochetage des jambes)
Dan Shou : ping, li, shun (main unique : vertical et horizontal)
Ba Zi : zuo, you (figure du huit : gauche et droite)
• Shuang tui: ding, huo (deux mains : maintien de la posture, en mouvement)
• Da hua: nei huan, wai hua (main de la grande transformation : intérieur, extérieur)
• Si zheng: peng, lü, ji, an (techniques basiques des quatre standards)
• Si yu (quatre coins)
• Da lü (grand coup)
• Da kao (grand appui)
• Chan si shou: nei,wai
• Luan cai hua (duel libre)
Et plus…